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À propos de l’artiste


Nérée De Grâce est né en 1920, dans le nord-est du Nouveau-Brunswick, à Shippagan.

Il est attiré par le dessin et la peinture dès son enfance.  Il obtient son diplôme de l’École des beaux-arts du Québec en 1948.  À peine un an après avoir terminé ses études, l’artiste fonde, à Québec, sa propre firme de publicité et de sérigraphie.  C’est ainsi qu’il gagne sa vie.

Occupant presque tous ses loisirs à peindre, Nérée De Grâce continue son travail dans le domaine de la publicité.  En 1977, à l’âge de 57 ans, il opte pour la peinture à plein temps.  Son rêve devient finalement réalité.

Vers la fin des années 70, il rencontre et collabore avec Édith Butler et Antonine Maillet avec qui il collaborera et qui participeront à mieux faire connaître le peintre partout au Canada.  Il illustra d’ailleurs « La joyeuse criée » pièce de Madame Maillet au Théâtre du Rideau vert à Montréal.

Cette notoriété se traduira par une émission à la télé de Radio-Canada ainsi que par l’émission d’un timbre par Poste Canada

Décédé en 1997, Néré de Grâce fait partie de collections importantes tant au Canada qu’en Europe.

 

 

 

 

 

 

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À propos de l’artiste


Marie-Claude Courteau est une artiste peintre canadienne, née à Beauharnois en 1953. Son parcours artistique est intéressant car elle a d’abord mené des études en sciences et une carrière de technicienne chimiste, ce qui ne l’a pas empêchée de cultiver ses passions pour la peinture, la photographie, l’horticulture et la randonnée en nature.

Parcours Artistique :

Marie-Claude Courteau a commencé à peindre sérieusement vers 1978.
Elle s’est consacrée entièrement à la peinture depuis 2006, après avoir mené de front une carrière de gestionnaire et d’artiste peintre pendant plusieurs années.
Elle a participé à de nombreuses expositions solos et de groupe dans sa région et au-delà.
Sa reconnaissance s’est accrue avec plusieurs distinctions, notamment en 2000 où elle a remporté le prix dans la catégorie « Réalisme Représentatif » au Concours d’Artistes du Cercle des Artistes Peintres et Sculpteurs du Québec. Elle a également remporté des premiers et deuxièmes prix lors de concours d’art à Mascouche, Valleyfield et La Prairie en 2006 et 2007, et le 1er prix Valédar pour artiste professionnel en 2017.
Style et Thèmes :

L’enfance de Marie-Claude Courteau, passée près d’un lac, a éveillé en elle une profonde fascination et un amour pour la nature, qui se reflètent fortement dans son œuvre.
Elle est principalement reconnue pour ses paysages, abordant des sujets variés comme les montagnes, les forêts, les lacs et les rivières, ainsi que la douceur des champs à l’aube ou la fougue des couchers de soleil. La lumière est un élément central et récurrent dans ses œuvres, elle la considère comme ce qui renouvelle constamment la nature.
Bien qu’elle soit souvent associée au réalisme représentatif, elle utilise des techniques mixtes, combinant divers procédés comme la peinture acrylique, l’encre, le photomontage et le papier artisanal. Elle cherche à maintenir un équilibre entre la figuration et l’abstraction.
Sa palette de couleurs est souvent chaude, et elle s’efforce de transmettre l’énergie et la beauté de la nature. Elle peint également des animaux et des portraits.
Marie-Claude Courteau est une artiste dont la sensibilité à la nature et

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À propos de l’artiste


Jean-Louis Courteau est né en 1959 à Montréal, Québec, au plus froid de l’année. Je crois que mon premier cri en était un de frustration et de colère, devant l’hiver!

Et pourtant j’habite maintenant les Laurentides; encore plus au Nord!

Mais si ces montagnes et forets sont tantot le Royaume des Glaces, tantot jungles infestées de moustiques; elles sont aussi ma Terre du Millieu, ma Conté à moi, regorgeant de la beauté sauvage des sous-bois et des lacs cachés, sources d’inspiration autant pour la plume que le pinceau.

Et quand les Dieux sont assez bons pour me le permettre; je vole retrouver mes autres inspirations: le soleil, la chaleur, des gens extraordinaires et surtout……….le Grand Bleu.

Lithographies disponibles par Jean-Louis Courteau

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Bruno Côté, né en 1940 à Québec et mort à Baie-Saint-Paul le 30 juin 2010 à l’âge de 69 ans, est un peintre québécois contemporain.

Bruno Côté est né à Québec en août 1940 et possède des origines irlandaises, écossaises et françaises. L’art prend une place importante dans sa famille et un goût prononcé pour le dessin s’installe chez lui. En 1957 il joint les rangs de l’entreprise publicitaire familiale, où il occupe une variété de postes allant de lettreur à directeur artistique.

Parallèlement à sa carrière publicitaire, Bruno Côté est attiré par la nature et entretient le désir d’une carrière artistique. Au milieu des années soixante, il s’initie à la peinture et songe à se consacrer entièrement à l’art. En 1978, il déménage avec sa famille à Baie-Saint-Paul, dans la région de Charlevoix qui l’inspire. Après un an de travail il tient sa première exposition solo. En 1980, il entreprend un voyage dans les Rocheuses canadiennes, voyage qui sera suivi par plusieurs autres partout à travers le Canada, dont les paysages sont enracinés dans son œuvre.

Bruno Côté était représenté par plusieurs galeries d’art. Une de ses œuvres a été offerte au Parlement écossais en 2008.

(Wikipedia)

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Biographie

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Stanley Cosgrove, né le 23 décembre 1911 à Montréal, décédé le 28 avril 2002 à l’âge de 90 ans, est un artiste-peintre québécois.

Il étudie à l’École des Beaux-Arts de Montréal entre 1929 et 1935 et est régulièrement exposé par la Galerie L’Art français.

Lithographies disponibles par Stanley Cosgrove

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À propos de l’artiste


Nathalie Chiasson est une artiste-peintre québécoise née à Jonquière, Saguenay-Lac-St-Jean, le 22 août 1968.

Artiste largement autodidacte, Nathalie Chiasson fait ses premières armes dans le milieu de la mode comme styliste et représentante.  Cette préoccupation pour le beau et le design marquera l’œil de cette artiste de talent et trouvera sa place dans une œuvre marquée par le luxe, le confort et la recherche d’un absolu hédoniste.

Dessinatrice de talent, Nathalie Chiasson se lance dans l’art à temps complet dès l’âge de 33 ans.  Utilisant une méthode ancienne de lavis au café qu’elle remet au goût du jour, elle utilise la peinture acrylique pour rendre des sujets variés allant de la mode (souliers, sacs et vêtements), les bouteilles de grands vins et, aussi, des paysages et des marines où elle démontre une sensibilité exacerbée.  Louboutin, Chanel, Châteaux Margaux et Rothschild; tous des noms qui deviennent synonymes de luxe et de bonheur dans l’œuvre de Nathalie Chiasson mais qui prennent aussi une dimension intemporelle sous les pinceaux de cette talentueuse artiste multimédia.

Pour finir ses œuvres, elle utilise de plus une technique de finition à l’époxy qui confère à celles-ci une dimension additionnelle de grandeur et de luxe.

Nathalie Chiasson est aujourd’hui au paroxysme de sa popularité et se retrouve dans plusieurs galléries importantes du Canada.  Ses œuvres trouvent aussi leur place au sein de collections tant privées que corporatives.

Nathalie Chiasson dans les médias

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À propos de l’artiste


Marc Chatelle et la mémoire collective.

Au cours des ans, ma perception de l’art et du rôle de l’artiste a évidemment évolué.

Jeune artiste, à peine sorti de l’école, je voyais l’art comme, avant tout, un moyen de briser les conventions, de déranger et de me démarquer des autres gens.

Plus tard, j’ai compris qu’on pouvait utiliser l’art de façon à faire réfléchir sans choquer et changer les perceptions sans être iconoclaste.

Il y a maintenant plusieurs années, j’ai finalement compris que tous n’avait pas besoin de prendre l’art comme un moyen de changer leur vie ou le monde et que, pour bien des amateurs d’art, la beauté et les émotions étaient beaucoup plus importants que les préoccupations intellectuelles.

J’ai appris que l’art n’est pas une réalité unidimensionnelle mais bien une entité aux multiples facettes et qu’au bout du compte, chacun avait ses raisons d’aimer l’art et le comprenait à des niveaux variés tout aussi défendables l’un que l’autre.

Marc Chatelle est l’un de ces artistes qui parviennent à ouvrir le tiroir de notre mémoire collective et à réveiller les souvenirs qu’on croyait endormis à jamais.

Peintre sans prétentions de grandeurs, largement autodidacte Marc Chatelle est né en 1935 à Cuels, près de Saint-Tropez, en France. Il débarque à Montréal à  vingt  ans.

Journaliste de profession, il travaille dans les principaux hebdomadaires du Québec et en dirige plusieurs : la Patrie, le Petit Journal, Point de Mire, Le Samedi, etc. En 1980, il se retrouve à la direction d’Échos Vedettes, où il travaille pendant dix-sept ans.

À soixante-deux ans, Marc Chatelle, jeune retraité,  se fait offrir une boîte de couleurs. C’est le début d’une nouvelle carrière!

Profondément ancrée dans la petite histoire du Québec, de ses institutions et de ses célébrités – que l’artiste a largement côtoyées – l’œuvre de Marc Chatelle ramène le spectateur à une époque révolue mais tellement vivante dans la mémoire de ceux et celles qui l’ont vécue.

Les réactions qu’élicite la peinture de Chatelle sont donc, comme je l’écrivais plus haut, purement du domaine de l’émotion et je défie quiconque a vécu le Québec des années 1950-60-70 de rester de marbre devant une scène  – un cliché instantané – devant une épicerie où les affiches, annonces et autre reliques de notre passé nous projettent vers une époque que l’on aime croire pas si lointaine.

Tout aussi saisissante par les souvenirs qu’elle provoque, sa « Crèche des Pays d’en-haut » mélange personnages de la vénérable émission de télévision « Les belles histoires des pays d’en-haut » à d’autres icones québécoises telles Maurice Richard, Félix Leclerc ou Marguerite d’Youville ainsi que d’autres symboles représentatifs de notre culture et de notre histoire.   Il est d’ailleurs à noter que ce tableau se retrouve maintenant au Musée de l’Oratoire Saint-Joseph où il trône au sein de la traditionnelle exposition de crèches.

La crèche des Pays d’en-haut © Marc Chatelle  —- Collection du Musée de l’Oratoire Saint-Joseph

L’œuvre de Marc Chatelle ne fera jamais partie du patrimoine artistique local ou international –  ce n’est pas sa mission.

Chatelle est plutôt un documentariste de l’histoire – grande et petite – et un conservateur de la mémoire collective du Québec.

Pour moi, c’est plus que suffisant pour en faire un artiste important et justifie amplement de lui réserver une place de choix au sein des galeries d’art et des collections de prestige ici et ailleurs.

S.M.Pearson

Chatelle rend hommage au Démon blond

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À propos de l’artiste

boudro

Boudro est un artiste québécois né en 1967.  Il se spécialise dans le Pop Art.

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Biographie


GABRIEL BONMATI – 1928-2005

 

Artiste singulier et émissaire iconique d’une époque particulière de l’histoire de l’art des derniers cinquante ans, l’œuvre de Gabriel Bonmati fait partie du patrimoine artistique international mais est aussi bien ancré dans l’imaginaire québécois.

Bonmati est né au Maroc d’une famille franco-espagnole. Il a étudié les Belles lettres françaises, la philosophie et la littérature gréco-latine à travers le cours classique traditionnel. Ensuite, il poursuit des études à l’École des beaux-arts de Paris et à celle de Marseille ce qui le mènera à l’enseignement.

De 1952 à 1965, il enseigne dans un lycée pour filles à Casablanca. Parallèlement, Gabriel Bonmati mène avec succès une carrière d’artiste-peintre dans laquelle il expose ses toiles dans des vernissages.

Influencé par les grands courants de l’art du vingtième siècle, l’évolution de l’approche plastique de l’artiste passe, dans les années 1950, par une vision hybride entre le cubisme et le géométrisme mais avec des préoccupations et une sensibilité toutes fauvistes.  Les sujets, bien que figuratifs, semblent n’être que prétexte et subalterne aux formes et aux couleurs qu’il manipule dans un esprit proche de ses contemporains, figuratifs ou non.

Les compositions complexes des paysages lusitaniens ou provençaux montrent l’approche bien contemporaine de l’artiste qui était, à l’époque, enseignant en arts plastiques.

Ses études aux Beaux-Arts – tant à Paris qu’à Marseille, l’ont exposées de toute évidence à la bohème des artistes de son époque et à l’explosion artistique qui marqua le milieu du vingtième siècle un peu partout dans le monde.

À Casablanca, il rencontre en 1960 un autre peintre Lucien Bensaid qui le sensibilise à la technique de la sérigraphie qui lui ouvre des avenues picturales qui lui étaient jusqu’alors insoupçonnées.

Son approche s’en trouve radicalement changée.  La nature même de la sérigraphie le pousse vers une liberté ou le réalisme des proportions, la perspective ou l’esclavage au réalisme deviennent secondaires à l’expression plastique pure.

L’iconographie de l’œuvre de l’artiste passe alors d’une vision bien ancrée dans une réalité toute objective vers un univers où l’imagination, le rêve, la sensualité et la mémoire prennent une place prépondérante.

À cet effet, il est probablement à noter que, dès 1967, Bonmati s’installe au Québec qu’il a visité lors de l’Exposition Universelle et dont les paysages auront su charmer le peintre qui s’inspireras dès lors de la dynamique propre à l’Amérique tant dans son approche plastique que dans le choix des sujets qu’il peindra jusqu’à la fin de sa vie.

C’est d’ailleurs au Québec que la carrière de l’artiste prend vraiment son envol.  Il s’installe en Amérique au début de la quarantaine, artiste déjà accompli et confiant dans ses moyens, prêt à partager son travail avec un nouveau bassin d’amateurs.  Il expose alors régulièrement chez Artlendrers, Penders et chez Elca London, galeries prestigieuses de la région de Montréal mais aussi en Europe aux côtés d’artistes renommés comme Dali et Chagall et même aux États-Unis.

À compter du milieu des années 1970, Bonmati trouve le thème qui deviendra sa signature jusqu’à la fin de sa carrière : les femmes.

Bonmati imagine – et c’est la caractéristique principale de son œuvre – souvent des portraits de dames nobles du Moyen-Orient au visage intemporel. Majoritairement inspirées par les voyages et par les expériences de l’artiste, son imagination débordante peuple une œuvre riche et sensuelle qui ne laisse personne indifférent.

Grand connaisseur en bijouterie, Gabriel Bonmati agrémente d’éléments symboliques ses toiles en y ajoutant des bijoux – souvent copié sur des cadeaux faits à son épouse – , des vêtements richement ornés ou du mobilier d’époque. Les visages féminins de ses tableaux invitent l’amateur à découvrir un monde enchanteur où l’imaginaire de Bonmati met en scène des reines somptueuses et leurs suivantes richement vêtues dans un décor mythique et rêveur.

Bonmati poursuit tranquillement sa carrière jusqu’au début du vingt-et-unième siècle exposant dans plusieurs galeries au Canada sous la supervision de son agent Multi Art Ltée qui, presque vingt-deux ans après son départ, continue à promouvoir l’héritage artistique de ce créateur dont l’approche et l’imagination continuent à séduire les générations.

Les œuvres de Bonmati se retrouvent dans de nombreuses collections publiques et privées et sont disponible dans plusieurs galeries à travers le Canada.

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À propos de l’artiste


Martin Blanchet est un artiste-peintre québécois né à Saint-Émile-de-Suffolk dans la région de l’Outaouais.

Tout d’abord étudiant en arts graphiques au Collège Algonquin d’Ottawa, il se tourne rapidement vers la peinture.  Largement autodidacte, Martin Blanchet parfait toutefois son apprentissage de la peinture à l’huile auprès d’artistes tels que Louis Boekhout et Louis Robichaud.

Grandement inspirée par la nature des Laurentides et de l’Outaouais, la peinture de Martin Blanchet respire les grands espaces, les forêts et l’intimité inhérente aux atmosphères des sous bois et vallées du Québec.

Martin Blanchet, poète de la peinture, est tout aussi inspiré par la vie urbaine de Montréal qu’il dépeint dans d’immenses tableaux lyriques qui chantent les affres et grandeurs de la ville.  Il est tout aussi à l’aise au travers de toutes petites scènes qui mènent le spectateur à une vison toute intimiste de la vie en ville.

Férocement indépendant, Martin Blanchet se consacre à sa muse à son rythme et selon ses propres balises et critères de beauté et de perfection.

Présent au sein des meilleures galeries d’art du Canada depuis le mileu des années 1990, les œuvres de Martin Blanchet ont aussi une place de choix au sein de plusieurs collections publiques et privées.