PHILIPPE ATTIE

ATTIE

Né le premier novembre 1986 dans la petite région pittoresque de Seguin en Haïti, le peintre Philippe Attie évolue dans le monde du réalisme contemporain. Découvrant son talent pour la peinture pendant sa jeunesse dans les collines de Pétionville, Attie a consacré sa vie à révéler le joli équilibre entre la technique raffinée et l’expression humaine non filtrée. À l’âge de seize ans, il est devenu apprenti à l’atelier du célèbre peintre Ralph Allen, se donnant une base solide pour l’acrylique et l’huile sur toile. Son engagement envers son métier a continué en tant qu’étudiant du peintre prééminent Richard Barbot qui a développé la finesse d’Attie pour combiner les couleurs et les formes avec une intuition indéniable. Attie capture l’essence même de l’âme dans ses aspects les plus émotifs de sensualité, de sagesse et d’émerveillement pour des résultats hors du commun.

 


RICHARD BARBOT

BARBOT

L’un des artistes haïtien connaissant le plus de succès, Richard barbot est artiste professionnel depuis la fin des années 1970. Reconnu pour la vivacité de ses couleurs et la profondeur de ses sujets, ce sympathique artiste est aussi musicien. Titulaire d’un baccalauréat de l’Université du Québec à Montréal, on trouve ses oeuvres dans plusieurs grandes collections à l’internationale.


THIERRY BARTHOLE

BARTHOLE

Portraitiste hors – pair, presque tous les haïtiens connaissent une de ses oeuvres mais dans l’ensemble ils ignorent tout de lui jusqu’à son prénom .
Né aux Gonaïves le 24 mai 1967, Thierry Barthole a quitté saville natale après ses études classiques pour s’adonner à la peinture. Diplômé en art plastique à l’Ecole Nationale des Arts en 1994, Thierry Barthole rejoint la même année l’atelier Barbot du nom du fondateur, son professeur Richard Barbot, où il perfectionne son art.

Grâce à une metrise avérée du noir et blanc, il dessine avec lesouci d’une technique de plus en plus parfaite.

Ses oeuvres ont déjà été exposées au Baird Community Center ( New Jersey, 1997 ) à la Cassa de Campo en 2003, El Museo de la Cassa Reales en République Dominicaine, à la galerie Motsart ( le grand bal de la liberté ) la même année. En Haïti il a exposé entre autres à la galerie Georges Beaudereau, à la galerie Rivoli, à l’hôtel Best Western Premier, aux Cercle Bellevue. Il lui revient l’honneur d’avoir dessiné 5 des 6 effigies des héros de l’indépendance d’Haïti qui honorent les nouveaux papiers – monnaie émis par la Banque Centrale en 2004.

Ce personnage talentieux d’un parcours remarquable ne cesse pas d’aiguiser l’admiration de tout ce qui a eu la chance de jetté un petit regard sur les lignes, courbes et contours subtils d’une simple esquisse dessinée de ses doigts bourrés de dextérité .

 


CARLOS JEAN-BAPTISTE

Charles André Jean Baptiste (Carlos Jean Baptiste) est né à Deschapelles, en Haïti le 16 août 1965. Enfant, il a fréquenté le «Collège La Providence», puis le Lycée Alexandre Pétion. À l’instar de Michelange Altidor, il a étudié sous Saincilus Ismael au début des années 80. Il a brièvement fréquenté l’École Nationale des Arts «ENARTS» .

Carlos est considéré comme l’un des meilleurs peintres haitiens contemporains. Carlos a remporté plusieurs prix pour son travail, y compris le Concours Pétion-Bolivar pour lequel sa peinture «Braceros» a remporté le premier prix. Il a exposé dans plusieurs pays d’Europe et des Amériques.


LÉONEL JULES

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Né à Port-au-Prince, en Haïti, Léonel Jules arrive au Canada en 1974. Il est diplômé de l’Université du Québec à Montréal en enseignement des arts plastiques. Enseignement, Études en histoire et sémiologie de l`art résument une carrière sérieuse en tant qu’artiste peintre.

« Convergence », présentée en 2005 au Vieux-Presbytère de Longueuil, une exposition subventionnée par la SODAC, propose une démarche qui fait confluer deux parcours qui caractérisent la structure de son identité picturale : un comportement qui exprime les valeurs esthétiques afro-caribéennes et qui met en scène les préoccupations
contemporaines de l`expression plastique.
Il a exposé à Montréal, Nantes, New York, Maryland, Toronto, Miami au musée Latino Américain; à Paris et en Guadeloupe. Ses oeuvres figurent dans plusieurs collections privées et publiques nationales et internationales. Au Québec par exemple: le Musée d`Art Contemporain de Montréal (collection Lavalin), le Musée de Joliette, la Collection Martineau Walker appelé maintenant Fasken Martineau; la Collection de la Banque nationale du Canada, le Musée Gilles Villeneuve et la Collection Provigo de Montréal, la collection Loto-Québec de Mtl. Sans oublier des collections particulières en Allemagne, à Toronto, Los Angeles, New Jersey, Miami, en Suisse, en France, Luxembourg, Monte Carlo, Haïti, Iles Vierges et Santo Domingo.

Il est un des rares artistes à participer à plusieurs causes caritatives impliquant son oeuvres avec des fondations aussi réputées que La Fondation de la Recherche sur la Moelle épinière, La Société Canadienne du cancer, et la le Fond d’études Maman Dion. Des Éditions limitées de ses oeuvres ont été signées par Céline Dion, Jacques Villeneuve, Thérèse Tanguay Dion, Dany Laferrière.


LYONEL LAURENCEAU

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Né en Haïti le 10 janvier 1942. Il a étudié à l’École des Beaux-Arts, au Hall of Plastic Arts, au Palais des Beaux- Arts d’Haïti et plus tard à l’école ABC de Paris. En 1966, il a remporté le premier prix à la New York World Fair.

Il a passé les trente dernières années à Laval, au Québec, où il étudie et analyse l’épanouissement de la psyché humaine pour mieux poursuivre l’art. Gérors S. Nader, le fondateur des galeries d’art de Nader a encensé le talent de Laurenceau. Il a promu son art à l’international.

INTERVIEW WITH THE ARTIST

 


JEAN-ADRIEN SÉIDE

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Né à Cayes. Il a déménagé au Venezuela quand son père est décédé. Il peint des paysages extrêmement structurés, avec une série de champs s’étendant vers un horizon lointain. À première vue, ses tableaux semblent représentatifs, mais un examen plus détaillé conduit à une fascination et l’élément fantastique prédomine sur la réalité immédiate.

Il a exposé en Haïti, à Ottawa, à Montréal et à Miami.


FRANTZ ZÉPHYRIN

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Frantz Zéphyrin commence à peindre en 1973 avec Antoine Obin, grand maître de l’École du Cap-Haitien. C’est à partir de 1988 qu’il développe son propre style, mettant en scène toutes sortes d’animaux sauvages et familiers qui dans un ballet libre et coloré recréent l’histoire mouvementée de l’humanité. Zéphirin dit en souriant : « Regardez bien, dans chaque homme il y a un animal ; un singe, un éléphant, un crocodile, une girafe… Je les aperçois dans un geste, une attitude, un trait de caractère et les fixe aussitôt sur la toile ».
Son oeuvre comprend aussi beaucoup de tableaux dont les sujets mystiques ésotériques nous emmènent dans les mondes parallèles.

Frantz Zéphyrin est aussi un artiste de la rencontre. Il a collaboré avec de nombreux artistes de son temps : peintures murales, tableaux à plusieurs mains avec Préfète Duffaut, Jose Bédia, Aparecida de Ozedo, Ermelinda Ozias, Diagne Channel, Étienne Chavannes, Pascale Monnin, Edouard Duval Carrié, etc.

Ses tableaux ont fait la une de plusieurs magazines prestigieux : le New Yorker, Le Temps, le New York Times, The Smithsonian Magazine…

Un de ces tableaux a fait la couverture de The immaculate Invasion de Bob Shacochis, best seller du New York Times.

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