[ngg_images source= »galleries » container_ids= »196″ display_type= »photocrati-nextgen_pro_masonry » size= »260″ padding= »15″ display_type_view= »default » ngg_triggers_display= »always » captions_enabled= »0″ captions_display_sharing= »1″ captions_display_title= »1″ captions_display_description= »1″ captions_animation= »slideup » order_by= »sortorder » order_direction= »ASC » returns= »included » maximum_entity_count= »500″]
Dans ses portraits au crayon, Brian Finn, graphiste et dessinateur montréalais, capte une certaine correspondance entre les rythmes corsés de la musique et la vigueur, voire la rudesse, de ses interprètes.
Une terrible assurance se dégage de quelques-uns de ces personnages. Le geste de Brian Finn saisit ce qu’en anglais américain on appelle attitude, et que, en français, on pourrait rendre par une certaine hauteur, la posture qui fait partie du personnage théâtral, situé entre barde et poète, qu’adoptent les chanteurs.